La rencontre

Yukimura
Didascalies
Les gardes


Une voiture s’arrêta devant le portail des Corleone… Le chauffeur descendit en premier, et ouvra la porte passager de gauche. Deux autres hommes sortirent de deux autres portes différentes.

« Venez, ont y vas »

Ils étaient tout les trois vêtu de costumes grisâtres, chapeaux vert foncé, et chaussures noir. Ils marchaient d’un pas lourd, et deux d’entre eux étaient équipé de mitraillettes. Arriver au portail, les hommes de gardes l’arrêtèrent

« Ehhh toi, t’es qui ? Dégage de là, t’es sur notre territoire »

Luigi leva légèrement est chapeau, qui lui cachait le visage, et s’approcha du portail et des deux gardes

« Yôôô les gars, je veux parler a votre boss, z'allez êtres sympathiques et me laisser entré ! »

« Comment ?! Tu oses… »

« Ta gueule Ronald ! Tu ne vois pas ?! C’est Yukimura ! Le Don des Barzini ! Désoler messieurs, je vous prie d’entrer, par ici »

L’homme ouvra le portail et laissa parler les trois hommes… d’ailleurs, jusqu’au bureau, tout les hommes de mains ont laisser le passage a Luigi. Arriver au bureau du Don, un homme hurla

« Yukimura, c’est Yukimura Don Corleone ! »

L’homme en question intima l’ordre à ses hommes d’ouvrir la porte, et a d’autres hommes, les gardes du corps situer a l’intérieur du bureau, de sortir. Luigi, donna l’ordre au deux hommes a ses coter de déposer leurs armes et de reculer de la porte (dans le bureau, y a que les deux Don).

« Attendez, déposer vos armes avant d’ouvrir ! »

Luigi regarda l’homme, et lui répondit d’une voix glaciale

« Chuis pas armé… même pas un revolver, je vient pour parler, pas pour me battre ! »

Luigi ouvra la porte doucement, et y entra les mains dans les poches. Il attendit que la porte soit entièrement fermer pour se décider a parlé

« Salut Vincent, ça fait un bail ! Je vient pour affaires, toi et moi ont est devenu de sacré morceaux pour la police, le problème c’est qu’ont se gène mutuellement…J’ai pas trop envi d’en finir avec une guerre… »"

La chaise en cuir avec le signe des Corleone se retourna et un homme apparut. En costard noir, noeud papillon et la petite rose qui depasse de la poche du costard. Les jambes croisés comme un gentleman, c'etait le Don.

Assis toi. Ce que fit Luigi.

Alors d'après ce que j'entend, tu veux faire une alliance ?
Luigi hocha la tête.

Bon, avant toute chose rappelle toi bien de ça. Un jour, peut être que ce jour ne viendra jamais, mais tu devras...faire quelque chose très important pour moi ... Mais avant ce jour prend ça, c'est un cadeau.La chaise se retourna et le Don tendit sa main expliquant à Luigi qu'il peut romper. Son offre etait accepté...

Ne t'enerve pas petit, je comprend...je comprend. Tu as quand même pris un quartier qui appartenait à mon père avant. Je vois que tu es pareil que ton père... Mais bon c'est de l'histoire ancienne on peut changer les choses.

Le Don Corleone attendait que Luigi reponde.

Ces propos fit sourire le Don qui ouvra une boite en métal chromée, sortit de cigares coupa le bout, en donna un à Luigi lui alluma et s'en mit un dans la bouche l'allumant après. Après la fumée se soit dissipée le Don ouvrit la bouche.

J'accepte ton offre. Je suis même content que nos familles puissent s'alliés après un passé... comment dire ?...Douloureux...

Le Don se retourna.

Par contre aucune demande d'argent ni rien de ta part, on s'aide en cas de besoin mais on va pas plus loin ! D'accord ?

"Parfait, c'est tout juste ce que j'éspèrais... pas d'argent, mais ont s'aide... Bien écoute, je suis ravi d'avoir eu affaire a vous, Don, Corleone. Au plaisir de vous revoir, amigo, sur ce astalavista"

Luigi prit le cigare, sorti un briquet, et l'alluma... sans attendre aucunes réponses, Luigi tourna les talons,et, soulager, un grand sourire aux lèvres, il reparta en direction de sa voiture...

Fin ^^

Le Don reprit les dossiers sur lesquels il travaillait et vit qu'une petite frappe rodait dans le passage. Il appella un des hommes, il était noir, les cheveux plutot long et se nommai Butch.

Bon tu vois ce gars ? Et bien... Tu va le tuer pour moi ! D'accord ?

L'homme hocha la tête et sortit.